Le 15 juin 2025

Dieu a incité le prophète Ézéchiel, en captivité à Babylone, à préparer les conditions, par la prière prophétique, d’abord pour une résurrection spirituelle, puis pour une délivrance physique.

Le prophète Ézéchiel témoigne : « La main de l’Éternel fut sur moi, et il me fit sortir en esprit. Il me déposa au milieu de la vallée. Elle était pleine d’ossements. Il me fit passer tout autour, et il y avait beaucoup d’ossements ; et ils étaient vraiment très secs » (Ézéchiel 37, 1-2).

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Nous devons voir le Christ en nous-mêmes et dans notre prochain. Mais cela n’est pas possible sans nous renier, en particulier en ce qui concerne  l’opinion que nous avons de nous-mêmes, les diverses philosophies que nous avons connues ou les divers points de vue qui doivent être mis de côté, car voir Jésus en nous est une question de foi. Mais attention, il ne s’agit pas d’autosuggestion. C’est la réalité. Nous pouvons nous rappeler en un clin d’œil plusieurs fois par jour : “Où est Jésus dans cette situation ?” Combien de fois pensons-nous à des choses pieuses et bonnes, mais soudain survient la pensée : “Où est Jésus dans tout ça ?”. C’est alors seulement que nous nous réveillons à la réalité et que nous réalisons soudain que nous avons oublié le contact personnel, l’entrée dans la présence de Dieu, et que nous l’avons remplacé par autre chose, même si c’était une chose bonne ou divine. Jésus répond à la question de savoir où il se trouve : ” Je suis avec  toi “. Et pour être clair, non seulement maintenant, mais j’étais avec toi toute la nuit pendant que tu dormais. Tu ne sais même pas comment les démons ont attaqué, et je t’ai protégé. Je suis avec toi non seulement en ce jour, mais tous les jours de ta vie. Mais je te demande : Où es-tu ? Je suis avec toi, mais tu te complais dans les rêveries, les jouets et les vanités, et il n’y a pas de place pour Moi dans tes pensées.”

« Vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous ;

et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée,

la Samarie et jusqu’aux extrémités de la Terre. »

« Vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous ;

et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée,

la Samarie et jusqu’aux extrémités de la Terre. »

C’est le Saint-Esprit, et non nous, qui convertit un individu. Nous, les ambassadeurs privilégiés de Jésus-Christ, pouvons communiquer un message verbal ; nous pouvons démontrer par notre vie ce que la grâce de Jésus-Christ peut accomplir. Mais ne pensons jamais naïvement avoir converti une âme et l’avoir amenée à Jésus-Christ. Nul n’appelle Jésus Seigneur si ce n’est par le Saint-Esprit (1Co 12, 3).

LE DÉFI

1. Dans Marc 5, 18-19, remarquez les paroles de Jésus à un homme qu’il avait guéri.

a) Où Jésus l’a-t-il envoyé ?

b) Que lui a-t-il dit de faire ?

c) Pourquoi pensez-vous que Jésus ait donné ces instructions particulières ?

La Parole de Dieu met l’accent sur : ceux qui ont la foi en Jésus. C’est la condition. Certes, Jésus est mort pour tous les hommes et nous sommes tenus de leur prêcher l’Évangile, le salut. Sans lui, personne ne peut être sauvé. Mais aujourd’hui, nous entendons un autre évangile : laisser les païens demeurer dans les ténèbres et périr dans les ténèbres. Certes, certains d’entre eux seront sauvés, mais peut-être seulement ceux qui ne sont pas sous l’emprise de systèmes religieux païens. Ou du moins ceux qui ne se sont pas ouverts à eux. Abraham était lui aussi un païen, mais il avait une conscience. Les païens aussi ont une conscience et le Christ est mort pour eux. Mais comment peuvent-ils obtenir le salut si personne ne peut être sauvé sans le Christ ? S’ils mènent une vie juste, Dieu leur donnera une chance de croire en Christ, au moins à l’heure de la mort. Ils le recevront ou le rejetteront. De même, à l’heure de la mort, nous recevrons Jésus pour la dernière fois ou nous le rejetterons.

« Si vous m’aimez, vous obéirez à ce que je commande. Et je demanderai au Père, et Il vous donnera un autre Conseiller afin qu’il soit avec vous pour toujours – l’Esprit de vérité. Le monde ne peut pas l’accepter, parce qu’il ne le voit ni ne le connaît. Mais vous le connaissez, car il vit avec vous et sera en vous » (Jn 14, 15-17).

Jésus dit : « Si vous m’aimez… » – telle est la condition. Et Il continue : « …Je demanderai au Père… ». Il dit : « Je » – Jésus. « …et Lui – le Père – vous donnera un autre Conseiller pour qu’il soit avec vous pour toujours – l’Esprit de vérité ». L’Esprit de vérité, l’Esprit Saint, le Conseiller – Il intercède pour nous avec des gémissements que les mots ne peuvent exprimer, comme nous le lisons au chapitre huit de la Lettre aux Romains. Nous ne savons pas pourquoi nous devons prier, mais l’Esprit lui-même intercède pour nous. Alors Jésus demandera au Père. Le Père donnera l’Esprit de vérité, le Saint-Esprit. Nous parlons déjà ici de la troisième Personne de Dieu. Jésus continue en nous parlant du Saint-Esprit : « Le monde ne peut pas l’accepter, parce qu’il ne le voit pas et ne le connaît pas. Mais vous le connaissez, car il vit avec vous et sera en vous » (Jn 14, 17). Le monde, ou l’esprit du monde, est l’esprit du mensonge. Il ne peut pas accepter l’Esprit de vérité, le Saint-Esprit, parce qu’il ne le voit ni ne le connaît. «Mais vous le connaissez », dit Jésus, « car il vit avec vous ». Donc Il vit avec nous, ou il est avec nous.

« Voyez quel amour le Père nous a témoigné,

pour que nous soyons appelés enfants de Dieu ! Et nous le sommes.

Si le monde ne nous connaît pas, c’est qu ‘il ne l ‘a pas connu. »

« Voyez quel amour le Père nous a témoigné,

pour que nous soyons appelés enfants de Dieu !

Et nous le sommes. Si le monde ne nous connaît pas,

c’est  qu’il ne L’a pas connu. »

L’Église est le corps du Christ. Chaque chrétien est membre de ce corps. Notre Seigneur Jésus-Christ est la tête qui dirige l’œuvre de tout le corps. Bien que chaque organe ait une fonction différente, chacun est nécessaire à la santé et au fonctionnement de tout le corps. Le Saint-Esprit donne la vie au corps. C’est sa présence qui unit tout le corps.

QU’EST-CE QUE LA COMMUNAUTE BIBLIQUE ?

1. Lisez 1 Jean 3, 1. Si vous êtes enfant de Dieu et qu’il est le Père de tous, qu’est-ce que cela vous apprend sur votre relation avec les autres croyants ?

2. « Communauté » vient du grec koinonia, qui signifie « partager en commun ». Dieu vous a donné beaucoup à partager. En examinant les versets suivants, déterminez ce que vous pouvez partager avec les autres et une manière concrète de le faire.

« Je vous dis ces choses », dit Jésus aux apôtres la veille de sa mort, « pendant que je suis encore avec vous ». Il ne restera plus très longtemps avec eux. Ce sont les derniers instants avant Son départ. Imaginez un père disant au revoir à ses enfants, sachant qu’il sera exécuté le lendemain. Il est innocent, mais il sera quand même exécuté. Il offrira son cœur sur un plateau à ses enfants bien-aimés. Il leur donnera tout ce qu’il a. Et Jésus, avec un amour bien plus grand, transmet aux apôtres les profondeurs de la vérité, dans la mesure où il sait qu’ils sont capables de les supporter et de les recevoir. Il savait qu’ils étaient encore incapables d’accepter beaucoup de choses, mais il leur a montré l’espérance qu’est le Saint-Esprit. Et voici ce qu’il dit : « … pendant que je suis encore avec vous… Mais le Consolateur (l’Avocat), que le Père enverra en mon nom… ». Lorsqu’on réconforte quelqu’un qui est déprimé, un mot peut sauver une vie. « Consolateur » – Il réconforte. « Consolateur » ou « Avocat ».